La Tsédaka est une “mitzva”, c’est à dire un commandement que chacun se doit d’observer. Selon la tradition, 10% de ses revenus y est consacré, le 10ème, la dime. Il s’applique même au pauvre qui aurait reçu la Tsédaka; à son tour il doit donner à plus pauvre que lui. Au nom d’une certaine conception de la justice, la Tsédaka est ainsi un élément central, incontournable dans toutes les communautés juives. C’est le cas dans notre communauté. Les sommes collectées servent à venir en aide à tous ceux que la vie a laissé aux bords du chemin.
L’accomplissement de cette mitzva ne peut se faire sans votre générosité, notamment au moment des “Yamim Noraim” (Roch Hachana et Kippour) et de Pessa’h. Mais vous pouvez à tout moment faire des dons (le Chabbat, à une naissance, pour une bar/bat mitzva…).
POUR ACCEDER AU FORMULAIRE DE DON, CLIQUER ICI.
Nous recevons les personnes qui font appel à nous toute l’année. Nos permanences ont lieu deux fois par mois, et les personnes qui ont pris rendez-vous sont reçues individuellement et en toute discrétion. Nous les écoutons et cherchons à comprendre leurs besoins et pour une partie, nous allons chercher à faire mieux et à les connecter à l’Action Sociale ou à d’autres services communautaires qui peuvent subvenir à leurs besoins. Nous avons ainsi pu offrir des ordinateurs pour des enfants, fournir des meubles ou des appareils électroménagers ou contribuer à des travaux d’améliorations sanitaires.
Les sommes qui sont allouées à l’ensemble des allocataires leur sont versées par virement bancaire, sans nécessiter de revenir plusieurs fois dans l’année, ni de faire la queue.
La distribution de la Tsédaka dans notre communauté est ancrée dans nos valeurs. Chaque année nous faisons une distribution grâce à votre générosité pour les fêtes de Tichri et pour Pessa’h.
Pour exemple, en 2019, nous avons servi 379 personnes dont 166 étaient inscrites dans les fichiers de l’ACTI.
Nous comptons comme d’habitude sur votre générosité pour que cette action perdure et soit toujours une fierté pour notre communauté.
Marc Kogel, Janine Riveline